« Ben… Ça a l’air hyper simple tout ça… Ok, allons-y Isaac ! »

Je fis un immense sourire à Thelos Aterna et un salut aux faibles joueurs avant de faire volte-face avec mon coéquipier bronzé et baraqué. Etrangement, l’immense Japonais – tout de même plus petit que mon garde du corps – ne dit rien et nous laissa passer sans plus de questions, tout comme le groupe de bras cassés.

J’étais heureux qu’Isaac m’ait rejoint. Je serais bien à l’abri derrière son corps à la longueur et à la hauteur bien supérieures à celles du mien si jamais des Player Killers tentaient de nous défoncer. J’espérais qu’ils n’y penseraient même pas grâce au visage dur du… Sénégalais ? Soudanais ? Irakien ? Je ne savais même pas ce qu’il était, le pauvre...

En tout cas, même s’il ne semblait n’avoir rien capté aux échanges auxquels il venait d’assister, j’avais quand même l’impression qu’il savait que cette histoire puait fortement le caca. Je le remercierais gracieusement en bonbons et en chocolat… Comme Ichigo d’ailleurs…





Même si l’orthographe de Ichigo laissait souvent à désirer, je compris qu’elle avait été obligée d’écrire son message à la hâte… Elle n’y avait même pas mis les majuscules ! C’était tout bonnement horrible à lire… Je décidai tout de même d’y répondre rapidement. Lorsque je laissais traîner nos conversations textuelles, il arrivait toujours un moment où elle décidait de se mettre au harcèlement. Un jour, en plein combat, j’avais pu recevoir dix-huit messages de sa part en l’espace de deux minutes. La sonnerie incessante avait fini par me gaver, tellement que j’avais dû fuir me mettre à l’abri pour lui dire que j’étais occupé.





Je joignis au message de l’argent, des champignons et de la viande. Avec son enthousiasme pour la cuisine, il lui serait aisé de faire patienter dans l’Eglise la blondasse un peu cruche. Personne ne pouvait résister au côté chiant de Ichigo…

Une fois convaincu qu’une débile aux cheveux d’or ne viendrait pas me déranger dans ma quête du marché noir, je tendis un chocolat à mon binôme tout en me hâtant vers le Château de Fer Noir.

Durant la bêta, j’avais pu visiter l’endroit de nombreuses fois. Mais depuis qu’il rayait les noms des joueurs véritablement morts, je l’avais évité comme la peste. Je supposai que beaucoup de personnes étaient dans mon cas, et que les lieux devaient logiquement être déserts.

Nous utilisâmes chacun Sprint tout le long du trajet, faisant des pauses de marche le temps de retrouver notre souffle entre deux utilisations de la compétence. Malheureusement, malgré cette dernière, notre vitesse restait vraiment faible. Nous mîmes donc pas mal de temps pour atteindre l’immense forteresse. Nous ne trouvâmes personne sur le chemin – en tout cas, personne de détectable par ma capacité d’Ecoute. En même temps, le niveau de celle-ci restait faible.

Enfin arrivé sur les lieux, je cherchai des yeux et des oreilles un homme louche avec, possiblement, un paquet dans les mains.

Aide à la modération :

Malgré quelques rares NPC qui passent devant le bâtiment, l'endroit est plutôt désert en joueurs. Le lieu parfait pour être tranquille. Ou mener une affaire malhonnête. Et en parlant de malhonnête, un curseur vert attire votre regard: adossé contre le mur noir, un joueur à l'air maussade semble attendre quelque chose, les bras croisés.

Prudent, vous l'observez un moment afin de jauger le danger. Il semble avoir entre 25 et 30 ans, et un visage aussi amène qu'une porte de prison.  Il est trop loin pour votre Analyse, mais son équipement semble aussi banal que courant. Ajoutez à cela votre supériorité numérique, et vous semblez avoir l'avantage. Rassuré - et aussi parce qu'il commence à vous fixer d'un air mauvais -, vous avancez seul vers lui afin de ne pas l'alerter davantage.

Vous vous arrêtez à deux mètres de l'étranger, avant de l'aborder de la manière la plus simple qui soit:

"Saluuuut ! Je te donne une info primordiale mais gratuite : savais-tu que les pommes de Taft sont rouges en cette saison ?"

Votre interlocuteur vous regarde un moment de haut en bas avec une expression indéchiffrable sur le visage, avant de vous faire un signe de tête vous incitant à le suivre. Il part le premier, se dirigeant vers l'arrière du château, à l'abri des regards et loin des oreilles. Vous acceptez de le suivre, vous êtes en ville après tout: il ne peut rien vous arriver ici.

Il vous attend de pied ferme juste au tournant, et daigne enfin vous répondre.

"C'est pas toi que j'attendais, mais ça fait rien pour cette fois. Plus vite je me débarrasserait de ce truc, mieux je m'porterai... Tiens."

Il ouvre son inventaire et vous présente une grande épée à deux mains que vous n'avez jamais vue. La lame, aiguisée des deux côtés, est composée d'un métal aux reflets légèrement verts. La garde semble être en or massif, et les yeux de la tête de dragon qui la compose brillent d'un éclat rouge sombre. Arme en main, il l'agite un peu sous vos yeux d'un air maladroit et la cale sur son épaule avant de vous envoyer une demande de contact.

"Il me faut ton nom, et l'argent promis. C'est la règle. On m'a garantit 10 000 cols pour ce bébé."

L'étincelle d'avidité qui brille dans les prunelles marrons du larron vous indique qu'il a sûrement gonflé le prix, mais négocier est peut-être risqué vu les circonstances. Sans parler de donner votre identité... Qu'allez-vous faire ?

« La règle, vraiment ? C’est pas c’que m’a dit l’PK à l’écharpe bleue à l’entrée Nord de la ville. »

Je lui fis un énième sourire enfantin, accompagné d’yeux moins pétillants et d’un ton doucereux.

Il ne semblait pas très à l’aise avec l’épée à deux mains. Soit ses statistiques en force n’étaient pas très élevées, soit celles de l’arme à l’allure très rare étaient considérables. Je penchais plus pour les deux, bien que le joueur pût porter hors Safe Zone un équipement plus intéressant que celui que je voyais. Dans tous les cas, je ne le pensais pas capable de porter une lourde lame tout en récupérant un cristal de téléportation pour me fuir rapidement.

S’il ne comptait pas être conciliant avec moi, il allait devoir choisir entre l’un ou l’autre.

Cela dit, même s’il tentait quelque chose, je n’avais qu’à utiliser Sprint pour le plaquer contre le mur et l’immobiliser. Maîtriser un type sans équipement de haut niveau devrait m'être aisé. Isaac, à qui j’avais demandé de me suivre d’un signe discret de la tête, me prêterait de toute façon main forte. D’après mon ouïe affinée et mon observation continue, il n’y avait personne d’autre dans les parages. Soit, personne pour le protéger ou nous ennuyer en cas de mauvaise négociation. A cette pensée, j’activai cette dernière au cas où cela changerait quoi que ce fût.

« Comme tu l’as dit, y a eu du changement. J’te débarrasse de l’épée et j’prends le nom d’son destinataire, mais c’est pas avec moi que tu auras ta récompense, je fais que dépanner. Si tu m’crois pas, regarde la position de celui que tu attendais et contacte-le. »

Si c'était la règle, le PK devait bien le compter dans sa liste d'amis après tout !

De toute évidence, il se payait ma tête concernant le prix de l’épée. J'étais gentil, mais cela me désolait un peu d'apprendre que j'avais vraiment l'apparence d'une bonne poire.

En tout cas, visiblement, ce genre de transactions était une porte d’entrée vers le marché noir. Après tout, s’’il y avait des règles, ce n’était sans doute pas pour les chiens. Ne voulant pas faire partie du manège, je n’avais pas l’intention de donner mon nom et encore moins ma position, surtout à un joueur avec une tronche pareille.

Si ce trafic concernait un nombre important de personnes à l’esthétisme indésirable, ainsi que des PK, je n’avais pas très envie qu’ils découvrissent facilement où j’étais et avec qui.

Au final, ne m’étais-je pas déjà montré trop imprudent, à montrer mon visage tranquillement ?

Bah. C’est pas comme si tu comptais te barrer avec l’épée, on va vraiment retourner voir le PK avec.

J’attendis que mon interlocuteur me répondît, calme en apparence, sur mes gardes en réalité.

Aide à la modération :

L'homme au cristal étonnamment vert vous fixe un instant, comme pour peser le pour et le contre de votre offre implicite. Il fini par soupirer lourdement tout en rangeant l'arme dans son inventaire, et ouvre sa carte à la place pour vérifier vos dires. Ses yeux se fixent rapidement sur un point et il la referme d'un geste sec, confirmant ainsi vos soupçons: la règle s'applique à tous.

"Allons-y. Je ne donne rien à personne tant que j'ai pas mon argent. Après ça, vous pouvez bien faire ce que vous voulez de cette arme, y compris vous la mettre où je pense."

Le ton glacial et empli de colère du fournisseur louche laisse place à ses pas rapides qui retracent votre chemin aller. Il s'arrête brièvement devant Isaac et le contourne rapidement, jugeant sans doute inutile de chercher querelle à plus grand que soit. Surtout dans une Safe Zone.

Sa direction et ses gestes précédents indiquent clairement qu'il va à la rencontre de votre premier contact, vers la sortie nord de la ville. Vous risquerez-vous à lui emboîter le pas, sortant ainsi de la sécurité des murs de la ville ?

Je te demanderais bien de m’aider à me la mettre où tu penses car je manque de souplesse, mais ça serait mentir…

« Hé hé, trop de générosité… »

Je ne perdis pas mon sourire et me retournai pour le suivre gaiement. Sautillant, je fis signe à Isaac de nous emboîter le pas lorsque nous le dépassâmes. Dire que j’avais dégoté facilement deux trafiquants ! Enfin, ce n’était sûrement qu’un coup de chance. Je ne pensais pas Shisha curseur orange depuis très longtemps.

Laissant le magouilleur ouvrir la marche, je profitai d’avoir une belle vue sur son derr- ses arrières pour utiliser Analyse. Elle m’indiqua un joli niveau 45 tout noir, signifiant que son niveau était plus élevé que ma compétence. Mais de combien ? Discrètement, je récupérai un unique pic de lancer dans mon inventaire ainsi qu’une potion de paralysie de niveau deux. Dans l’une de mes multiples poches, je les mélangeai rapidement et sans faire de bruit.

J’étais accompagné de Isaac et de mon familier invisible à la langue paralysante, habillé de pièces d’équipement que j’avais moi-même perfectionnées, et j’allais seulement à quelques pas hors de la ville… Je possédais objectivement l’avantage, d’autant que je ne comptais pas être hostile à ces deux charmantes personnes mais… On ne sait jamais. Mieux valait se montrer prudent maintenant que le regretter amèrement par la suite.

Je me mis à la hauteur de l’adulte en gardant un petit sourire.

« Ça fait longtemps que tu fais ça ? »

Pas de réponse.

« Tu l’as trouvée où cette arme ? »

Je voyais bien sur son visage et dans son soupir, que je le saoulais.

« Je me demande quelles statistiques elle a ! T’as eu l’air de galérer à la porter tout à l’heure, haha. »

Il fronça les sourcils, et je m’interrogeai sur la possibilité qu’ils se plissassent encore plus.

« Comment vous vous êtes rencontrés avec… »
« T’arrêtes jamais de parler ? »

Par des gestes exagérément larges et accompagnés d'un petit gémissement, je posai mes mains sur mon cœur, comme si une flèche venait de le transpercer.

« Hmm, c’est si froid…! »

Après cela, le retour vers la porte Nord se fit dans le silence. J’eus le loisir de remarquer qu’il prit plus de temps que l’aller car aucun de nous ne sprinta. L’homme avait-il au moins la compétence, ou ne voulait-il seulement pas nous perdre ? Sachant qu’il désirait se débarrasser rapidement de son colis, et que mon charme immense ne semblait pas fonctionner sur lui, je misais plus sur ma première hypothèse.

Enfin, nous arrivâmes à la porte de sortie. De loin, et par l’ouïe, je vis et sentis que le PK nous avait patiemment attendus.

Aide à la modération :

Votre commanditaire n'est pas surpris de vous voir revenir avec un membre en plus, ou en tous cas n'en laisse rien paraître. Il se relève à votre approche, mais c'est votre compagnon de route taciturne qui prend l'initiative.

"C'est quoi ce plan ? C'est pas ce qu'on m'avait dit, tu devais me ramener mon argent et prendre ce truc fissa ! Je devrai déjà être en train de manger un bon plat à la taverne là, t'as une explication ?"

Un bref silence prit place avant que "Shisha" ne daigne répondre, de sa voix toujours lasse et monotone.

"Une simple précaution. Je ne tiens pas particulièrement à rencontrer les gens de ton espèce sur leur propre terrain. Mais voilà ton argent, donne moi l'objet maintenant."

Les deux compères qui s'entendent comme larrons en foire se jaugent un moment avant d'activer leurs mains pour valider un échange invisible à vos yeux. Mais le premier sourit devant le montant de son compte en banque tandis que le second matérialise la fameuse épée entre ses doigts, comme en ville. A la différence près que celui-ci la porte aisément d'une main et en admire la garde un moment avec une pointe de nostalgie.

"Faire preuve de prudence en envoyant un joueur faible en guise d'appât est un principe de base dans ce milieu, tu ferais bien de t'en inspirer à l'avenir..."

La lumière pourpre qui surgit de l'arme vous laisse à peine le temps de comprendre ce qui va suivre, et le revendeur trop occupé à compter son dû écarquille les yeux tandis que la grande lame lui transperce la poitrine. Son regard se lève sur son bourreau dans une grande incompréhension tandis que le second coup de ce Sword Skill inconnu lui tranche la tête dans un élégant 360° fluide. Les deux morceaux explosent dans une nuée de pixels d'habitude réservée aux monstres, et le bretteur rengaine sa nouvelle arme sans la moindre émotion apparente.

Il détourne ensuite son attention vers vous, avant de lever lentement une main devant lui en signe de paix.

"N'ayez pas peur, je ne vous ferai pas de mal. Mon client m'a demandé de récupérer cette arme qu'on lui a volé. Et cet idiot a été assez stupide pour tenter de s'en débarrasser lui-même. Les infos circulent vite pourtant, il aurait dû le savoir... Venez, vous semblez avoir un certain potentiel pour ces choses-là. La preuve: vous êtes encore en vie."

Sur ces mots inattendus, le PK qui a clairement montré la raison de la couleur de son curseur vous tend un cristal de téléportation. Un seul.

"Navré, mais vous allez devoir me faire confiance. Je me porte garant de votre sécurité jusqu'à ce que vous retourniez ici."

Il attends un moment que vous vous décidiez et expliquiez la situation à Isaac, avant de vous éloigner un peu. Une fois à l'abri des oreilles indiscrètes, il vous donne la destination: le petit village près de la Hill of the Cross au palier 19, la dernière Safe Zone de l'endroit avant le donjon.

… Dans quoi tu t’es fourré, Ari ?

Les yeux exorbités par la surprise, j’avais eu du mal à déglutir lorsque j’avais vu la tête du livreur se détacher de son corps. Je ne m’attendais pas du tout à assister à un règlement de compte, de tant d'imprudence de la part du voleur, et de tant d'agressivité de la part de l'assassin.

Après l’annonce de Kayaba, j’avais assisté malgré moi à plusieurs suicides, collectifs ou non, et j’avais vu des pseudos de joueurs amis rayés dans le Château de Fer Noir. Mais c’était la première fois que je voyais les pixels d’un cadavre humain, dont la vie avait été prise par un homologue.

Pourtant, la première chose – troublante – que je me dis fut la suivante : pour n’avait-il pas récupéré son argent avant de le tuer ?

Je me retournai vers Isaac, qui avait sorti arme et bouclier malgré les gestes à but apaisant du curseur orange.

Que faire ? Je venais d’assister à un meurtre. J’avais toujours l’avantage, avec mon familier, mon bouclier humain, et mon pic de lancer enduit de poison. Je pouvais utiliser le cristal de téléportation que l’on me tendait pour fuir vers une autre ville.

Mais dans ce cas-ci, Isaac serait en danger. Le meurtrier ne connaissait pas nos noms, mais sa menace à l’encontre de sa victime m’indiquait qu’il avait les moyens de récupérer facilement les informations qu'il souhaitait. De plus, sa stratégie laissait supposer qu’il avait des idées à revendre quand il s’agissait de piéger ses proies. Enfin… Il venait de révéler que j’étais plus faible que lui. M’avait-il Analysé, ou était-ce du bluff ? Le faire moi-même en cet instant serait sûrement considéré comme un gros manque de respect. Par conséquent, je préférais le croire.

La meilleure solution pour l’instant était d’entretenir correctement cette nouvelle relation.

Je fis signe à Isaac de se calmer avant de lui lancer un regard entendu et un sourire rassurant. Nous étions amis, il devrait me retrouver facilement grâce à cela. Je suivis alors le PK pendant un moment, jusqu’à ce qu’il me révélât notre destination et que je m’emparasse du cristal avec un sourire en coin faussement confiant.

« Merci pour le compliment, même si j’aimerais bien savoir ce que vous entendez par "ces choses-là". Mais bon, vous m’expliquerez tout une fois qu’on sera là-bas. »

Je serrai le bloc bleu et lumineux et baissai la tête, faisant un clin d’œil discret à mon caméléon invisible calé sur ma cheville. A cause de mon ouïe, j'entendais distinctement son petit cœur battre à tout rompre. La peur d'un maître se transmettait-elle à son familier ?

« Téléportation, Hiru ofu ze Kurosu. »

Avais-je prononcé d'un ton assuré.

Aide à la modération :

Pseudo : Ari
Nombre de messages : 17
Cols gagnés : 2 618 cols + 4 000 cols de Snow + 5 100 cols (vente)
Cols dépensés : 558 cols
Objets utilisés :
Bon pour atelier x2
Katar [For+10]
Short de grimpeur [Vit+15 / Rés+10]
Spotted Leggings (For+9)
Warm Armbands (Rés+7/chaud)
Cracked Mitt (Pré+9) / Gants
Short boots (Vit+5)
Bottes [Vit +10]
Snowman's Trousers (Vit +10)
Roche de Golem x2
Manteau Arbre de Vie [Vita +15 / Res +15]
Chocolat x1
Cèpe sauvage x1 (donné à Morango)
Viande de lapin-garou x1 (donnée à Morango)
Viande de serpent x6 (Morango)
Objets obtenus :
[Couture] Poils de Lycaon [Esq +1] x2
[Couture] Griffes de Lycaon [Pré +1] x1
Cristal de photographie : "Mademoiselle Ari et moi" (Morango)
Compétences gagnant des points :
Couture +1
Négociation +1
Familier +1
Ecoute +2
Dague +1
Armure +1
Parade +1
Stratège +1
Acrobatie +1
Sprint +1
Analyse +1
Chance +1
Cuisine +1 (Morango)
Sprint +1 (Isaac)
Niveau début du rp : 54
Niveau(x) gagné(s) : 2
Réputation : 1¤ 3- 2+
Remarques : Un très long RP, désolé pour le délai et les impros qui ont suivis. Ca fait plaisir de voir que tu as quand même réussi à le mener à bout~ De très bonnes utilisations de tes NPJ et une belle somme en prime, qui a dit que le crime la comédie ne payait pas ? Et il fallait bien qu'Ari s'attire quelques ennuis depuis le temps ! La suite au prochain RP~