Le dimanche 20/03/2018
Étage 2
9h30



Il m’avait laissé. Il m’avait laissé comme ça, après avoir passé sa commande, en me parlant comme si j’étais sous ses ordres. Je n’avais même pas pu lui dire que je voulais ses ingrédients de couture comme paiement.

Il va me les briser, lui.

Je le sentais au plus profond de moi. Mon comportement lui avait fait comprendre que j’étais très – trop – serviable. Le chic type que j’étais était obligé d’accepter sa demande d’ami. Le véritable type que j’étais avait juste envie de l’ignorer, tout comme la commande qu’il avait passée.

Je décidai de m’en occuper le soir-même.

A l’instant, j’avais besoin de penser à autre chose qu’à un débile. Je me retournai, direction le lac.

« Tu peux refaire ta diva. Remue ton boule ma vieille ! »

Je laissai le caméléon faire sa vie sur les branches, raccourcissant la vie de criquets et de mouches, pour m’approcher de l’étendue violacée.

Je récupérai un cadeau explosif de couleur violette. Ne les ayant jamais utilisés, je ne savais pas à quel point ils feraient du bruit ou du remue-ménage dans le lac.

Je m’éloignai le plus loin possible de l’eau hostile. Je laissai assez de distance pour pouvoir m’échapper au cas où, un cristal de téléportation dans ma main gauche.

Avant de lancer le cadeau piégé, je me tournai vers l’impératrice. Elle me fixait.

« T’inquiète pas, si je suis obligé de m’enfuir, je ne t’oublierai pas. »

Elle se colora en rouge avant d’attaquer le sol de sa langue.

Ça voulait dire « viens ici, ta race ».

Je la récupérai sur mon pied avant de lancer de toutes mes forces un cadeau explosif sur le lac.

Aide à la modération :

L'explosion était relativement faible et laissa un nuage de couleur derrière elle. Cependant, la surface du lac fut dérangée par le souffle et plusieurs ronds d'eau s'étendirent jusqu'à disparaître.

Un poisson sauta hors du lac, agitant la queue.

J’avais couru (plutôt marché vite) me mettre à couvert avant que le cadeau n’explose. Mais rien de grave ne se passa.

Je m’approchai du poisson et l’Analysai.

C'était un Tsuk' Myo'PhaIl… Qui devait être en train d’agoniser. Mon cadeau explosif avait dû l’alerter, et il avait déjà dû s’empoisonner. Tant pis, je ne pourrai pas le manger. Mais il serait peut-être utile pour créer du poison ? Je me demandai ce qu’il se passerait si je le mangeais hors Safe Zone.

Je notai sa description dans le Carnet d'Information Commune à l'attention des Pêcheurs et des Cuisiniers.

Bon... On va te réserver à un ennemi.

Je m’approchai plus près encore avant de le récupérer avec un pan de ma veste et de le placer dans mon inventaire. Grâce à cette histoire, je savais maintenant que je pouvais pêcher comme ça, sans avoir la compétence pour. Super !

Il me restait encore 29 cadeaux surprises.

L’hypothèse selon laquelle le monstre serait au milieu du lac me vint alors. Je ne pourrais jamais lancer ces cadeaux assez loin avec ma force actuelle, malheureusement. J’allais donc devoir faire un peu plus de boucan… Ou alors, je devrais plonger dans le lac… Ce qui serait impossible.

Je n’avais pas la compétence Nage, j’allais donc mettre mille ans à atteindre mon objectif. L’eau du lac était empoisonnée, donc je me ferais peut-être tué avant. Et ensuite, s’il y avait vraiment un monstre de ce niveau, il me tuerait en un coup. Je ne pourrais pas fuir facilement à cause de l’eau et en plus, si jamais il me noyait, il me serait impossible d’utiliser mon cristal de téléportation… En tout cas, je ne pensais pas que ma voix soit audible sous l’eau.

« Hmm… »

Je réfléchis, un index sur le menton, avant de me tourner vers le caméléon.

« Qu’est-ce que t’en penses, toi ? »

Elle ferma un œil.

Je l’interprétai comme un « essaie encore une ou deux fois pis on s’casse ».

« Bon… Je lance Détection. Et ensuite, je fais péter les cadeaux. »

J’activai la compétence en regardant le lac avant de me promener tout autour pour détecter une quelconque anomalie.

Aide à la modération :

Le résultat de votre détection n'est malheureusement pas très précis car vous percevez en effet qu'il y a quelque chose d'anormal avec ce lac. Mais vous n'en saurez pas plus comme ça, ce qui ne vous avance pas énormément.

Pendant ce temps, le lac reste paisible et les remouds à la surface n'ont rien de folichon... Il va falloir trouver autre chose à présent !

Hormis quelques distorsions émanant du lac, je ne vis pas grand-chose.

Je vérifiai les informations sur ma compétence de Détection. Six sur cent, c’était peut-être trop peu… Cependant, j’étais au deuxième étage donc cela devait marcher. Par conséquent, soit ce lac cachait un secret de haut niveau, soit ma façon d’utiliser la compétence était foireuse.

Je soupirai avant de poser les yeux sur mon familier.

« On fait confiance à Poulet Fumé comme on l’a toujours fait sans jamais être déçus ? »

Le caméléon leva les yeux au ciel.

« On pourra toujours revenir une fois ma compétence améliorée… »

Elle soupira en gardant un œil en l’air et l’autre sur le lac.

« Comme ça, tu pourras m’aider à coudre l’équipement du cassos. »

Cette fois-ci, elle me fit un regard qui m’invitait clairement à aller me faire voir. Je ris.

« Ca vaaaaa, j’déconne, oh la la, on peut plus rigoler hein…! »

Peut-être que c’était mon déplacement qui avait fait perdre sa précision à la compétence. Je me stoppai donc net et m’approchai le plus possible du lac. Je fixai intensément le sol qui frôlait la surface violette de l’eau empoisonnée devant moi.

L’anomalie détectée venait peut-être seulement du caractère empoisonné de l’eau.

Cependant, ce n’était pas vraiment elle qui m’intéressait. Pour accéder au monstre de niveau soixante-douze, il me semblait plus logique d'emprunter un passage secret plutôt que de passer dans le liquide dangereux.

Après tout, seule une foldingue blonde oserait s’aventurer à l’intérieur de ce lac.

Si ma nouvelle tentative ne donnait rien, cela pourrait dire que :
1- je n’étais pas au bon endroit ;
2- je ne regardais pas la bonne chose ;
3- ma compétence était à améliorer ;
4- il me fallait passer la tête sous l’eau pour gagner en précision.

Dans ce dernier cas, j’allais d’abord voir si mon corps se désagrégeait au toucher du poison. Peut-être que le poisson que j’avais pêché avait une couche de protection contre ce phénomène après tout.

Ou alors…

« … Peut-être qu’il faut un item précis pour plonger dans le lac ? »

Dans tous les cas, à part essayer tout ce qu'il m'était possible de tenter, je n’avais pas trop le choix.

Je commençai donc par utiliser Détection sur le sol.

Aide à la modération :

Le sol ne dégage rien de particulier.

Le lac est toujours aussi calme et rien ne semble bouger à sa surface. L'eau dormante est-elle vraiment à craindre ?

… Bon… C’est le moment de vérité !

Il était dit dans les informations de l’étage, que quiconque se baignait dans ce lac perdrait la vie. Nous allions voir ça !

En attendant, Analyse ne me révéla rien de plus que ce que je ne savais déjà : ce lac était aussi violet qu’empoisonné. Pour avoir plus d’informations dessus, il fallait que j’y entre.

Au cas où mon corps ne puisse survivre au contact de l’eau violette, je décidai de garder intacte ma main dominante. Je plongeai donc un doigt puis toute ma main gauche dans le lac. Elle en ressortie intacte. Mais un petit logo de poison venait d’apparaître au-dessus de ma barre de vie.

« Poison de niveau 1 ? C’est tout ? Je m’attendais à pire avec cette description… »

J’y entrai l’autre main pour voir que cela ne faisait rien de plus. Le nombre de dégâts n’augmentait pas.

« Tu t’occupes de mes arrières, Princesse ? »

Sa peau se colora en rouge pour intimider tout adversaire cherchant à s’approcher. Je souris avant de ranger mes lunettes inutiles dans mon inventaire.

Je me mis sur le ventre puis, doucement, j’entrai ma tête dans l’eau qui était aussi violette que glacée. Mes cheveux débutèrent une danse légère à cause du liquide et du petit courant.

Puis, malgré ma visibilité tout sauf optimale et mes points de vie en baisse, j’utilisai Détection.

Aide à la modération :

Il ne semble y avoir rien de plus malgré vos efforts. Pourtant, une forme sombre émet un roulis au fond de l'eau. Des nuages de sable se déplacent quand tout à coup...

Vous vous retrouvez face à un banc de poisson. Qui que soit ce poulet fumé, s'il a vu ce fameux monstre, il était soit fatigué, soit il s'est convaincu lui-même car vous ne détecter rien de suspect.

Je me retirai brusquement de l’eau à l’arrivée de la masse noire. Mais en regardant le surface de l’eau, elle ne s’avérait être qu’un groupe de poissons.

« Bon… On dirait qu’il n’y a vraiment rien. »

Poulet Fumé aurait donc dit des bêtises ? Dans tous les cas, je ne pensais pas pouvoir faire autre chose pour confirmer ou non la rumeur. Je soupirai avant d’ouvrir le Carnet d’Informations Communes et d’y effacer la rumeur. Il n’y avait pas de monstre de niveau soixante-douze ici.

Détection avait dû me montrer le piège empoisonné que refermait le lac, c’était tout.

Tant pis, tant mieux. J’avais quand même passé un bon moment à vérifier cette rumeur, en améliorant mes compétences et mon utilisation de Détection au passage.

A présent, j’allais devoir bosser... alors que nous étions dimanche.

« Allez viens, on va au quinzième. »

La couleur du caméléon s’éclaircit, révélant sa bonne humeur.

« Tu. Peux. Prendre. Tout. Ton. Temps. On va les narguer, ces monstres de bas niveau. »


Au final, nous n’avions pas mis des lustres à atteindre le quinzième palier. L’impératrice était tellement motivée qu’elle n’avait pas vraiment pris son temps. Même si le deuxième étage était son lieu de naissance, elle préférait se prendre de plein fouet le soleil éclatant du quinzième que les rayons déviés par les nombreuses feuilles du second palier.

J’avais fait quelques emplettes avant d’entrer dans l’atelier de couture de l’étage. J’avais négocié deux morceaux de cuir pour le prix d’un en insistant sur ma qualité de client régulier. C’était stupide parce que cette ressource n’était vraiment pas chère. J'avais négocié de plus bel en ajoutant à ma liste de course quatre bobines de fil simple, trois de couleur noire et une de couleur or.

Nous avions ensuite pénétré ensemble l’atelier. J’avais négocié le prix de la location en promettant des vêtements et des peluches à destination des enfants du propriétaire.

Je mis alors sur la table de couture tous les ingrédients nécessaires pour concevoir les brassards du cassos. Contrairement à la cape, j’en avais déjà cousus. J’allais donc commencer par le plus simple.

Aide à la modération :

Equipé d’une alêne ronde, je perçai deux fois les morceaux de cuir que je venais d’acheter. J’utilisai ensuite une griffe de couture pour faire des trous bien ronds et de meilleure qualité.

J’avais décidé de ne pas utiliser une alêne losange. Les perforations qu’elle faisait étaient vraiment plus jolies, mais elles nécessitaient plus de technique et prenaient plus de temps et d'énergie à faire qu’avec la griffe.

Le choix de la méthode avait été guidé par la personnalité de leur futur possesseur. Les brassards n’étaient pas pour moi mais pour un gaillard à l’allure débile semblant peu respectueux du travail des autres. Pourquoi donc me casserais-je donc l’anus à concevoir de merveilleux vêtements ? J’étais certain qu’il ne me remercierait pas pour ça de toute façon.

C’était aussi pour cette raison que je n’avais pas désépaissi le cuir. C’était un joueur qui voulait qu’on le voie. Des brassards discrets ne lui conviendraient sans doute pas.

J’éloignai les pièces de cuir l’une de l’autre. Je les colorai de gris pour aller avec l’ensemble de la tenue du joueur avant de leur attribuer, à chacune, les ingrédients à bonus que j’avais préparés sur la table.

Un morceau de cuir par brassard. Cinq écailles de serpent par bout de peau.

Je récupérai une aiguille simple et passai le fil d’une des trois bobines dans son chas. Je piquai alors une écaille de serpent avant de changer ma petite arme contre une aiguille ronde, idéale pour transpercer le cuir. Je liai ainsi cuir et écaille.

Je répétai les mêmes gestes pour assembler à la première puis à la deuxième peau les cinq écailles.

Celles-ci étaient parfois si résistantes que je devais forcer sur l’aiguille au bout pointu. Je les disposai de sorte à ce que l’on ne voit que deux d’entre elles en vue de face. Les trois autres se trouvèrent derrière, disposées en triangle couleur émeraude.

Comme pour la majorité de mes créations, je m’obligeai à broder mon minuscule logo à l’extérieur des brassards, au-dessus des écailles. Il serait invisible sauf pour les fins observateurs.

Je m’équipai de l’équipement pour vérifier les coutures. J’en fus satisfait, si l’on mettait à part la couleur que je trouvais atroce, mais qui allait de pair avec les goûts médiocres du cassos.

Je jetai un coup d’œil à mon familier. J’aurais pensé qu’elle se prélassait tranquillement à la fenêtre, profitant du passage des rayons du soleil.

Il n’en était rien : de grosses mouches noires la narguaient à l’extérieur en volant tout près du bâtiment. Avec sa vision peu avancée, elle avait l’impression qu’elles étaient tout près d’elle. Elle se cognait ainsi le visage aux vitres et balançait sa langue, sans succès, contre celle-ci.

« … »

Je vais faire comme si je n’avais rien vu.

Je lui tournai le dos et sortis les ingrédients pour fabriquer la cape de Monsieur Cassos.

Aide à la modération :

Grâce aux patrons des lieux, je pus choisir de fabriquer une cape longue et sans capuche.

Je récupérai d’abord mes trois morceaux de cuir récoltés sur des monstres. Je devais déjà en les lier en un tissu avec la longueur que je souhaitais. Pour ce faire, j’utilisais la même technique de perforation du cuir sur laquelle je m’étais appuyé pour concevoir les brassards.

Les alênes étaient vraiment indispensables pour travailler les peaux.

Je passai le fil d’une nouvelle bobine dans le chas de l’aiguille ronde afin de lier ensemble le cuir du pacifique et les deux peaux de caméléon. Je profitais que la princesse soit accaparée par les mouches pour faire les choses délicatement… Ou pas.

Parfois, je perdais aussi mon attention en pensant à mon estomac qui commençait à lutter contre la faim.

Une fois mon tissu de base formé, je le pliai en faisant attention à ce que les côtés soient bien alignés. Je suivis ensuite le patron pour tracer à la craie mes repères. Je découpai selon ces derniers les lisières et le bas de la cape. Je m’aidai d’épingles pour que les épaisseurs du cuir restent bien en place. Il fallait les couper droit pour ne pas que la cape ait un côté plus long que l'autre.

J’utilisai un cutter à lames trapèzes pour les grosses découpes, et le cutter de précision pour celles qui nécessitaient plus de technique. J’avais d’abord tenté d’utiliser le couteau à lames fixes… Mais, n’ayant pas assez désépaissi le cuir, cela fut totalement impossible.

Après avoir tranché les bouts de peau nécessaires, je délimitai le col de la cape par d’autres coups de cutter précis. Je défis alors un pli et coupai une unique épaisseur du tissu en deux parties égales.

J’obtenus ainsi l’ouverture de la cape.

Je m’occupai après du biais dans le but d'obtenir des finitions potables. Ce fut la première fois de ma vie ici que je le fis autant à l’arrache. Je me dis que le système suivrait et rendrait le tout un minimum droit et joli pour moi.

La base de l'équipement était terminée, je passai aux accessoires à bonus.

Je m’emparai de la griffe de loup et de la dent creuse que j’avais préparées tout à l’heure sur la table de couture.

Grâce à une alêne, je les assemblai à la cape avant de créer une boutonnière adaptée à leur taille. Grâce aux repères formés à la craie et à un cutter, le cassos pourrait fermer son col de façon assez stylée grâce aux restes des monstres. J’ajoutai, comme touche esthétique finale, la plume de corbeau licorne, qui patientait depuis un moment, sur le dos de la cape.

Pour terminer mon chef d’œuvre formé à l’arrache, je brodai ma marque de fabrique en tout petit tout en bas à droite et à l’intérieur de la cape.

Comme pour les brassards, le logo était assez discret pour ne pas attirer l’œil d’une personne peu concentrée sur le style du joueur.

« Pff, mais même si ce mec avait un style vestimentaire, personne ne le remarquerait à cause de sa coupe de cheveux de tocard. »

J’essayai la cape. Grâce à mon corps de mannequin, elle ne ressortait finalement pas mal. J’appréciais un tout petit peu plus les couleurs… Mais ce n’était toujours pas un chef d’œuvre.

Je ne perdis pas de temps. Je fis quelques tours sur moi-même pour vérifier les coutures puis nommai l’équipement avant de l’envoyer à son possesseur.



L’équipement envoyé, je décidai d’aller à l’Eglise pour manger ma tarte à la citrouille avec Ichigo et Isaac, qui nous avait fait l’honneur surprenant de sa présence.

Heureusement qu’il était là d’ailleurs. Je le trouvais toujours intéressant. Comme il était étranger et que je n’étais pas le meilleur professeur de japonais du monde, je ne comprenais pas forcément tout ce qu’il me disait. Cela lui donnait un côté mystérieux que j’appréciais énormément.

Tout ce que n’avait plus Ichigo.

Aide à la modération :

Nombre de ligne : 2/2
Qualité de la langue : 2/2
Avancement du RP : 1/1

Pseudo : Ari
Nombre de messages : 7
Cols gagnés : 966 cols
Cols dépensés : 95 cols
Objets utilisés : Cadeau explosif x1
Écailles de serpent (Rés+1) x10
Griffe de loup (Pré+2) x1
Dent creuse (Pré+3) x1
Plume de corbeau licorne (Pré+2) x1
Cuir du pacifique (Couture : Esquive +3) x1
Peau de caméléon (Couture : Esq+1) x2
Morceau de cuir x2
Bobine de fil x4
Snake Armband (Résistance +10) / Brassards (envoyés à Kibaou)
Forest Cape (Précision +7, Esquive +5) / Cape (envoyée à Kibaou)
Objets obtenus : Tsuk' Myo'Pha
Morceau de cuir x2
Bobine de fil x4

Compétences gagnant des points :Négociation +1
Couture +1
Analyse +1
Détection +1
Familier +2
Niveau début du rp : 38
Niveau(x) gagné(s) : +1
Réputation : + 10 (Finir un rp solo, apporter du contenu au carnet d'information, vendre ou offrir un objet d'artisanat)
Remarques : Je suis contente d'avoir suivi ce rp de bout en bout, j'aime beaucoup le soin que tu apportes à la description de la compétence de couture.