Étage 5 - [THEME] Allions-nous. [Pv Kori et Alysra]

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Le 31 mai, palier 5, 11h58

Je savais pas qui était ce Kōri mais c’était un bâtard. Revenir dans ce palier avait été la pire erreur de toute ma vie… Dire que je m’étais promis, juré, que j’avais déclaré sur mon honneur et ma raison, que j’irais plus jamais dans ce trou à vers !!! Mais l’appât du gain avait été plus fort que tout, tout comme l’évitement de la solitude et de l’ennui, tout comme la curiosité, tout comme mon envie d’éclaircir ce mystère. J’avais très vite réfléchi à tout ça. On avait dû être très proches dans le passé, cette personne et moi. Elle savait que j’avais un problème avec les noms et les visages, elle savait que le troisième étage était mon territoire, elle savait que j’avais un petit faible pour la monnaie de l’Aincrad, et surtout… Elle connaissait mon pseudo.

C’était une chose que je donnais très, très rarement aux personnes de passage. J’avais dû refaire le monde avec ce Kōri mais… Quand, où, comment, pourquoi, pour quoi ? Il avait sans nul doute dû me plaire mais, en quoi ? Je m’étais posé toutes ces questions en recevant le message privé et j’avais pas tardé à trouver un portail de téléportation juste après. Si tu sais pas, tu n’as qu’à aller demander à la personne concernée. Je me rappelai bizarrement une phrase de je ne savais plus quelle personne : « les scientifiques veulent savoir pour savoir tandis que la masse ignorante veut savoir pour se valoriser ». Etrangement, je partis dans une lutte interne, mon cerveau mettant en doute mon appartenance au camp des scientifiques. Bah. J’étais folle de toute façon.

Après ma journée précédente très chiante, j’avais passé une nuit horrible à rouler dans mon grand lit deux places, à m’emprisonner dans ses couvertures et à en dégringoler, la tête entre mes fesses, le regard à moitié vide, les cheveux plus emmêlés que d’habitude. Pourquoi j’avais acheté cette maison… ? Je reçus ce message après avoir tourné sur moi-même des heures et des heures durant, parlant toute seule de choses que je comprenais même pas, me régalant de ce tournis qui m’empêchait de voir les murs de cette maison mensongère. Elle ressemblait à notre maison d’avant, mais elle l’était pas, et j’étais pas dans mon monde, j’étais dans un autre. Mais j’étais qui dedans ? Et j’étais laquelle ? Celle d’avant ou celle de maintenant ou…

« VEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRR !!!!!! »

Les yeux pleins de larmes, j’utilisai encore Sprint et Acrobatie pour éviter cette horreur de la nature, mon bras armé tremblant toujours beaucoup trop pour lui décocher un coup violent dans sa tronche visqueuse et, et… Un nouveau haut-le-cœur et je vis enfin des silhouettes. J’étais sans doute en retard mais si ce Kōri était au courant de mon pseudo, il devait savoir pour mes problèmes d’orientation. Dire que j’avais tourné en rond pendant de longues minutes pour savoir où qu’c’était le Nord… Et que j'avais ultérieurement fait de même pour trouver le donjon...

Récapitulatif :

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Un long moment s'était déjà écoulé depuis que j'attendais ici. Mon attardement sur cette branche d'arbre n'était en aucun cas anodin. Le cinquième étage regorgeait encore de personnes de bas niveau et des premiers lâches. Vous savez ces personnes qui ont vu qu'on pouvait vraiment "mourir" dans le jeu et qui se repose maintenant ici, de peur de ne pas se réveiller. Pensons y deux secondes... Je suis Aluriel ! Si c'était un jeu où nous étions réellement en danger, mon agent m'aurait déjà fait sortir de là en faisant pression sur les bonnes personnes. Que la populasse peut être débile... Et pourtant, celle qui n'était pas bonne à l'école, c'était moi. Il en convient donc de souligner un sophisme tout à fait disgracieux mais au combien réel : les gens réussissant à l'école deviennent bêtes.

L'école de la société actuelle est un entonnoir où tous les jeunes sont embarqués là où a besoin d'eux, formés là où on manque de bras pour tourner le rouage appelé "système". Les personnes n'entrant pas dans le moule sont vus comme des déchets mais j'en fus parti et je n'en ai pas l'impression de correspondre à cette définition. Evidemment que j'avais autrefois le sentiment d'être une ratée, jusqu'à ce que je découvre mes talents pour les jeux de versus. Nous sommes tous des artistes dans l'âme : libre à nous de nous laisser inhiber ces talents pour convenir au monde moderne ou de nous exprimer contre la pensée actuelle pour redéfinir ce monde.

C'est cette dernière option que j'ai choisi sans vraiment savoir quel monde façonner. Tout ce que je voulais, c'était de vivre paisiblement de ma passion et c'est ce que j'étais en train de faire. Je n'avais pas lu le contrat que nous avions passé avec la société de production et peut-être que mes publicités n'étaient pas les seules choses que je devais : peut-être avais-je signer sans le savoir pour jouer à ce jeu et être filmée pour un reality show. Un show représentant une arène à cent étages et de laquelle s'enfuirait une seule personne victorieuse. Une personne triomphante et dont le réveil serait accueilli sous les applaudissements de tous les perdants éliminés.

Cette place, sur mon arbre avait pour but de voir si beaucoup de monde passait par ici mais aucun depuis bientôt une heure. Et dire que j'aurais pu détrousser quelqu'un ou simplement farmer; quel temps perdu... Jusqu'à ce que je vois passer une silhouette familière. Cet homme, cruel d'apparence mais jouant un jeu agressif qui me plaisait, un certain Kori, approchait. Aucune idée s'il m'avait remarquée ou non mais j'étais hors d'atteinte. Je décidais de me laisser tomber de ma position assise pour me réceptionner simplement sur mes jambes. La position de réception m'obligea à m'accroupir à cause de mon absence de compétence en acrobatie. Mes longs cheveux touchaient le sol souillé mais par chance, dans ce monde, on ne se salissait pas. Je pouvais lentement regagner ma stature verticale en passant par une cambrure non nécessaire mais au combien attirante pour l'oeil du public. On dira que c'est une réminiscence des temps où je me produisais sur scène et un "au cas où" mon temps de jeu était diffusé.

En pointant cet homme de ma lance, sans le menacer vu la distance nous séparant, je lui dis :

Alors comme ça, on m'attire avec des détails mon tout beau ? J'espère que tu as mieux que ça si tu ne veux pas me "décevoir".

J'allais faussement me cacher pour faussement rire mais une autre personne venait vers nous, équipée d'un marteau. Etait-ce une forgeronne ? Son niveau était élevé et traîner avec un curseur orange pouvait devenir délicat vis à vis de ma réputation. Je me tenais sur mes gardes et continuais à tenir en respect l'ami Kori. Peut-être que cette personne fuira en pensant que je me bats contre lui ou qu'on pourra la piéger dans un deux contre un si jamais elle s'approche de trop...

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C’est décidé, aujourd’hui une nouvelle guilde voit le jour ! Depuis le temps que j’y songe, je n’ai jamais franchi le pas tout simplement parce que j’avais autre chose à faire que de trouver des gens assez idiots pour me suivre. Après tout, être PK c’est surtout être solitaire et quand tu ne l’es pas, c’est pour mieux tuer. Mais ce matin, un éclair de motivation m’a parcouru le corps et mon esprit me poussa à envoyer un message aux quelques personnes qui pourraient être intéressées. Seul, avec un curseur orange, c’est vraiment l’enfer pour progresser, alors que si je m’alliais à une personne ou deux, ou trois ou quatre, voir plus, je pourrais tuer des joueurs plus forts. Rien que de penser à tous leurs efforts pour progresser, qu’ils disparaissent en un instant en finissant dans mes poches avant de voir leur corps partir en éclats de pixels. Une sensation de bien-être m’envahit, je donnais sûrement une image menaçante et malveillante, mais j’adorais ça.

Je n’avais pas choisi cet étage par hasard, depuis ce matin, je traînais dans les environs à la recherche de plantes pour mes potions. Je progressais très lentement du fait de ne pouvoir utiliser les ateliers d’alchimie en libre-service, mais cela ne me démotivais pas le moins du monde. Et j’avais raison de ne pas désespérer, un plant d’Aconit Vénéneux pointait enfin le bout de son nez après quelques heures de recherche… Et un retour à mon point de départ. Une envie de l’écraser pour lui faire comprendre que je déteste qu’on me fasse tourner en rond pour rien me démangeait, mais je le ramassais avant de faire une erreur que je regretterais plus tard. Les plantes sont rares par ici, l’environnement montagneux n’aidait pas vraiment, comme les joueurs d’ailleurs. Le fait que les autres idiots préfèrent les paliers ensoleillés ou avec plus de verdure, me motivais à faire notre rencontre ici. Une guilde de PK ne se monte pas sur une place publique.

Arf. Elle m’a eu. Un petit sourire discret apparaissait sur mon visage lorsque je vis ma belle petite combattante atterrir au pied de son arbre. Mes pensées m’avaient emporté et j’avais baissé ma garde. Inutile de me défendre, je savais qu’elle ne m’attaquerait pas, du moins pas tout de suite. Elle se relevait de manière tellement aguicheuse, c’était clairement une invitation à observer ses formes et inutile de dire que je ne m’en privais pas. Je la regardais partir, fière de son coup, vers notre point de rendez-vous. Elle tomba face à mon « plus de détails » et à sa position, je compris qu’elle était prête à se battre. Parfait. Je passai un bras autour de ses épaules et avançais pour la détendre et lui montrer en même temps qu’à Ritcha qu’il n’y avait pas de danger.

« Allons mesdames, détendez-vous, il n’y a aucun danger. Si quelqu’un se pointe, je vous invite à le coincer dans la grotte qui se trouve là et à le dépouiller tranquillement. »

De ma main, j’avais indiqué un petit recoin parfait pour une embuscade, déniché un peu plus tôt dans la journée. Ainsi, je montrais à mes collaboratrices que j’étais prévoyant et que je voulais avant tout assurer notre sécurité. Je lâchais Aluriel, pour reprendre une position de force en plantant ma naginata dans le sol pour m’y appuyer. De mémoire, Ritcha n’en avait pas une bonne, elle ne se souvient peut-être pas de mon pseudo ou de ma tête, mais je pense que mon curseur de couleur si particulière ici, lui rappellerait quelques souvenirs. Elle aime garder son pseudo pour elle, je lui laissais le plaisir de choisir en allant droit au but.

« Je ne vais pas tourner autour du pot, nous avons un but commun. Je marquais une courte pause.Je vous propose une alliance. C’est pas facile de prendre le fric des autres ou de faire baisser le nombre de joueurs seul et sans passer par ce curseur hein ? Je pense que dans ce monde, il nous faut une ou deux personnes sur qui on peut compter, sinon, on finira assez vite en pixels. »

Je les observais en attendant une réaction. D’un geste, je posais mon arme sur mon épaule, l’air détendu, mais prêt à me battre.

HRP:

Messages : 3686 Date d'inscription : 12/01/2014

Le membre 'Kōri' a effectué l'action suivante : Lancés de dés

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Voyant un curseur vert et un curseur orange, je me stoppai juste à temps, restant éloignée des deux. L’orange avait qu’à se rapprocher un peu pour embrasser le vert après tout. Regard soupçonneux posé un temps sur l’un, un temps sur l’autre, je gardai mon arme levée et serrée dans ma main. Pis le mec aux cheveux gris prit la parole et sa voix me rappela quelque chose… Mais j’arrivais pas à mettre le doigt dessus… Par contre, la meuf, que dalle. Fallait dire que mes yeux louchaient plus sur sa poitrine que sur les traits de son visage, quoi. C’est des faux hein ? Dis-moi qu’c’est des faux !! Il n’empêchait qu’ils formassent à eux deux un bon duo en apparence. Avec ma petite taille et le peu de soin que j’accordais à mon physique, je me demandais bien ce que je foutais là. Malgré quelque égarement mental, j’avais écouté avec attention tout ce que l’orange avait annoncé pis…

« Aaaah ! Mais oui, toi !! Mais ça fait mille ans ! Depuis le huit novembre je crois, d’ailleurs ! Aaah, c’que t’as grandi ! Nan, j’déconne. Donc ça y est, tu te fais une pouffe aux gros seins, comme je l’avais prévu. J’ai failli totalement oublier cette histoire. Tu me dois cent cols pour le pari que t’as perdu du coup. »

Le souvenir de cette journée et de cette soirée m’était revenu et j’avais commencé à sautiller sur place et à faire de grands sourires mutins accompagnés de regards espiègles. Il m’avait bien fait rire ce type n’empêche. Franc, il avait cette qualité que peu avaient et que je vénérais. L’étrangeté. Ce qui me donnait envie de lui parler, de l’écouter et de le découvrir en entier… Ou pas. Cela dit, on ne pouvait nier le fait qu'il avait du charme et qu'il était intrigant et même, attachant. Nous avions la relation que j'aimais avoir avec des amis : on se titillait et se lançait des grosses piques non sans faire preuve d'une grande complicité et d'une entraide efficace. Enfin, de l'eau avait coulé sous les ponts depuis notre dernière entrevue. Etre orange obligeait à se cacher et à beaucoup de battre pour survivre après tout. Néanmoins, de bons amis pouvaient se retrouver après dix ans et se parler comme s'ils s'étaient vus hier. Mais je m'égarais : le sujet du jour était à prendre au sérieux.

« Hum, comme j’te l’avons dit la dernière fois, j’sommes partante pour ça. Je s’rons juste pas « famous » (j'insistai sur les guillemets en les mimant avec mes doigts, le geste accompagnant mon accent dégueulasse) auprès des autres joueurs en tant que vilaine. Pis, je f’rai ma vie aussi. On est potes, tu m’donnes pas d’ordres, mais j’ferai tout pour t’aider si tu me racontes tout. Oh, en parlant de ça, en parlant de ça ! Je veux un masque, je veux, je veux ! »

Je voyais déjà mon futur avec des gens dans ma maison pleine de gens et de sous. De sous, de sous. Dans ma maison en or, j’aurais une maison en or avec des gens à l’intér…

« AAAAH ! Mais en fait, j’t’ai pas dit ! J’ai une maison, une grande maison maintenant ! J’ai acheté plein de trucs en anticipant un kidnapping de joueurs utiles ! J’ai une forge, une couturière et une alchemisterie ! Sans oublier une cuisinière fuh fuh ! J’en suis fière d’ailleurs. ‘fin bref, hum, il nous faut aussi des alliés comme ça hein ! Tu vois comment la suite en fait ? »

J’étais toute excitée pour un rien. Le simple fait de savoir qu’il me restait encore dans ce monde une personne que je connaissais et que j’appréciais me rendait toute l’énergie que la solitude, totale et prolongée, m’avait enlevée. J’avais donc entrepris une danse bizarre sans m’en rendre compte tout le long de mes monologues, faisant tourner mon marteau dans la mêlée… Avant de me stopper d’un coup, de regarder autour de nous, méfiante comme un animal menacé, et de me mettre derrière l’arbre, ouvrant l’onglet de mes capacités.

« Si jamais on m’voit avec un orange, ça risque de pas le faire. »

Usant de Dissimulation, je restai stoïque derrière l’arbre. Invisible pour les personnes qui nous verraient de loin, visible pour mes futurs et nouveaux alliés ainsi que ceux qui arriveraient juste en face de moi. Passant d’une gamine totalement agitée à une adulte trop calme en deux secondes, j’attendis la réponse des deux autres.

Récapitulatif :

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Cette fille est bizarre... Très bizarre. Je la regardais tandis qu'elle parlait. Elle semblait bien connaître Kori et les détails allaient bon train entre ces deux là. Cependant la dernière remarque de cette fille fut la plus pertinente de tout son monologue... Que nous soyons vues avec un curseur orange sans tenter de nous battre avec ou de fuir allait finir par devenir suspect. Je décidais de faire comme ma future collègue et de prendre place parmi un des éléments du décors qui nous entourait et d'y activer dissimulation.

De là je réfléchissais à la proposition du jeune homme tandis que le buisson m'entourant me camouflait. Tuer des gens n'était pas vraiment un problème, passer en orange permanent dans ce monde était une condamnation que je n'étais pas prête à subir. Ce Kori allait donc devoir se garder le sale boulot. La plaisir était dans la défaite de quelqu'un : quand malgré tout ce qu'il entreprend, il finit par céder et plier inexorablement. Là serait mon plaisir qu'il soit avec ou sans les armes. Par la force, ou par la ruse. On attendait de moi d'être la dernière survivante de ce jeu, je le serais. Mais inutile de faire plus de kills si c'est pour arriver deuxième. Laissons-le se salir les mains et continuons à mener une vie confortable. Quant à cette autre camarade, elle semblait avoir la même couleur de curseur que moi et un équipement bien plus avancé, une maison et des moyens plus importants... On ne pouvait pas vraiment lui refuser quoi que ce soit : il valait mieux l'avoir avec que contre nous. Ma réponse était donc toute trouvée... Depuis ma "cachette", je répondais donc unilatéralement :

Ce sera bon pour moi. Du moment qu'on s'équipe assez vite et qu'on ne mette pas trop de temps à sortir de ce monde et donc à buter les personnes qui ne méritent pas de nous retenir ici...

J'étais encore persuadée qu'un bug devait exister et qu'on ne devait pas suivre le jeu tracé par notre geôlier. Nous avons tout à perdre à jouer avec ses règles sur son terrain et contre lui. Il fallait contourner et annuler les conditions minimales de notre détention. Ce n'est qu'ainsi que nous pourrions avoir une chance de sortir. J'espérais juste que ce bug se produirait avant d'avoir à tuer les personnes avec qui j'allais forcément me lier : sinon une certaine peine allait accompagner les coups que je donnerais pour sortir seule de ce monde. Leur peine...

J'attendais la réponse de notre futur chef de guilde ainsi que les détails pour créer notre rassemblement qui porterait donc un nom... Aluriel's Slaves serait quelque chose de pas mal mais j'étais là incognito sous le surnom démérité d'Alysra. Nul doute en tout cas que le jour où je rencontrerai cette raclure de la pire espèce, je lui ferais crier mon nom aussi souvent que ma lance le percera avec l'espoir que je m'arrête. Sauf que seule la mort l'attendra au bout de son aventure...

récap ::

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