La larme  se forma au coin de ta paupière, roula sur ta pommette, dévala la pente de ta joue, s'accrocha l'espace d'une seconde à ton menton avant de tomber sous l'effet de la gravité. Elle laissa une légère trace sur le tissu de ta cape qui disparut tout aussi vite qu'elle était apparue, emportant avec elle les reliquats de ta crise.

C'était une expérience étrange de pleurer dans l'aincrad. Le programme avait prévu la possibilité de pleurer, mais ne prenait pas en charge les traces d'une crise de larme. Il n'y avait pas de nez qui coule, pas d'yeux gonflés, pas de maux de tête, juste du silence et de l'amertume.

Tu levas les yeux, contemplant les murs anonymes de cette petite placette qui avait accueillis ta crise. Tu avais eu juste le temps de t'esquiver avant que les souvenirs ne t'emportent.

Levant les yeux vers le ciel, tu réfléchis à ce qui avait provoqué ta crise.

Une mort, une de plus.

Un joueur qui s'était jeté dans le vide en tout début de soirée. Tu ne savais pas pourquoi. Mais tu avais vu, cela avait suffi.

Tu aurais pu hurler. Tu aurais pu maudire le créateur du jeu. Mais tu n'avais pu que pleurer, pleurer alors que les souvenirs remontaient à ta mémoire, pleurer devant ce que tu voyais de plus en plus comme ton avenir...

La perte, le chagrin, la douleur...

Le combat, une nécessité mais jamais un plaisir.

Les moments de paix, des instants volés trop vite disparu.

Trop. c'était trop pour toi petit bout. Tu étais fatigué, si fatigué... Tu en venais presque à comprendre ceux qui abandonnaient. c'était plus facile d'arrêter, de poser les armes. Lutter demandait trop de choses. Et toi tu étais si petit...

La fatigue, encore et toujours.

Tellement fatigué que tu mis quelques secondes à percevoir que quelque chose avait changé. Qu'il y avait quelque chose de différent d'en l'air.

De longues secondes passèrent avant que tu ne puisse mettre le doigts dessus.

De la musique.

Quelqu'un jouait de la musique. Du violon.

Il y avait quelque chose dans cette musique qui retournait l'âme et le cœur. Les notes tirées du violon semblaient danser dans l'air allégeant l'atmosphère par leur simple présence. Tu sentais presque la mélodie tourner autour de toi, pénétrer ton être par tes oreilles afin de te remplir tout entier, chassant la noirceur, le doute et la peur.

Tu fermas les yeux pour profiter de cet instant fragile, activant ta compétence d'écoute pour amplifier cette sensation de plénitude.

Une goutte roula sur ta joue.

Une deuxième suivit.

Tu te rendis compte que tu pleurais. De joie? De tristesse? Tu n'en savais rien et à ce moment là, tu t'en fichais. Tu voulais juste que ça ne s'arrête jamais.

Quand la fin du morceau survint, tu retins un cri. Non! C'était trop tôt! Pourquoi?

Tu ne pouvais pas accepter que cela s'arrête comme ça. Tu courus vers le mur, activant ta compétence d'acrobatie pour bondir sur l'auvent d'un magasin. Tu utilisas une deuxième fois cette compétence pour bondir de nouveau, rebondir sur le mur et agripper le bord du toit.

Te hissant à la force des bras, tu te hâtas de te relever, scrutant la nuit pour trouver ce musicien mystérieux.

Tu finis par distinguer une ombre à deux toits de là.

Tu restas là, sans trop savoir quoi dire, sans ôser faire ne serait--ce qu'un mouvement de peur que cet instant étrange ne se dissipe comme le fait la neige au soleil. Pourtant, cet inconnu t'étais étrangement familier. Tu esquissas un pas vers lui, il recula d'autant.

N'y tenant plus, tu activas ta compétence de vision nocturne.

Elle était trop basse pour te donner une vision claire de l'individu. Mais tu parvins malgré tout à obtenir quelques flashs. Des gants d'un blanc immaculé, une tenue noire, un sourire mutin... Mais des traits de la personne en face de toi point trace.

- Qui est tu?

Tu n'obtins aucun réponse.

Tu avanças d'un autre pas, avant de te mettre à courir, activant ta compétence d'acrobatie au moment ou tu bondissais du toit.

C'est au moment ou tu sautas que tu te rendis compte que tu avais peut être été un peu ambitieux sur ce coup là, perturbé comme tu l'étais. Il y avait 3 mètres entre les deux toits et tu avais pris ton appel du mauvais pied.

Au moment ou tu t'en rendis compte, ton corps, aidé par ta compétence se mit en action. Tu basculas ton centre de gravité pour chuter non plus pied mais mains en avant. Tes mains aggripèrent la gouttière du toit. Ton soulagement fut douloureux.

Mais tu avais encore une fois compté sans la gravité. Ton corps décrivit un mouvement de bascule, retenu au bord du toit par tes mains et vint frapper à pleine vitesse le mur de la maison.

Tu hurlas de douleur. De peur aussi.

De douleur parce que ça faisait mal et que tu étais sur que tes hp en avaient pris un coup. De peur parce que l'impact t'avais fait lacher la gouttière sous le choc et que, comme la pomme de ce scientifique qui avait découvert la gravité, tu chutais.

Non. Non. Non.

Tu cessas de réfléchir rationnellement alors que ta mémoire te repassait à toute vitesse tous les reportages que tu avais vu sur les conséquences de ce genre de chute.

Tu te crus perdu.

A cet instant précis, une main s'enroula autour de ton poignet comme un serpent, stoppant ta chute.

Aide modération:

Tu mis quelques longues secondes à te rendre compte que tu ne tombait plus. Tu levas la tête. Ton regard tomba sur un gant blanc recouvrant la main qui entourait ton poignet. Ton regard glissa sur cette main, remonta jusqu'à la jonction entre le gant et une veste à manche longue, poursuivi jusqu'à l'épaule où le tissu laissait place à du cuir avant de t'arrêter sur un visage plongé dans l'ombre, protégé par une capuche.

Tu ouvris la bouche. Puis tu la fermas.

Il n'y avait rien à dire et ce n'était vraiment pas le moment. Encore étourdit, tu trouvas la force de lever ton autre main pour agripper le poignet de l'étranger que tu serras de toutes tes forces.

Tu sentis les muscles sous tes doigts se tendre, puis tu fus propulsé vers le haut. Bientôt, tu te retrouvas bien à l'abri sur le toit et tu te hâtas de t'éloigner du bord, avant de te laisser tomber à genoux.

C'est bien la première fois depuis que tu arpentais ce genre de voies que tu avais frôlé la mort. Ton cœur battais la chamade dans ta poitrine et tu sentis une émotion prendre son essor dans ton esprit.

Tu avais peur petit bout.

Rétroactivement mais oui tu avais peur. Peur parce que tu te rendais compte que si cet inconnu n'avait pas été là, tu aurais chuté et tu te serais écrasé en bas.

Tu te mis à trembler.

Soudain, tu sentis une mains se poser sur tes cheveux, les caressant doucement d'avant en arrière. Quand tu voulus te dégager, la caresse s'intensifia. Tu finis par arrêter de remuer, appréciant ce contact. Depuis combien de temps est ce qu'on ne t'avait pas touché comme ça? Sans doute depuis le départ de ta maman.

Pourtant tu avais toujours aimé les calins.

Au bout d'un certains temps, tu finis par te calmer. La main s'attarda un bref instant sur tex cheveux avant de les quitter.

- Merci.

C'est le premier mot qui te viens à l'esprit. Puis, prenant une grande inspiration, tu te remis debout, regardant autour de toi. Si l'inconnu t'apparaissait plus clairement maintenant, tu ne parvenais toujours pas à distinguer ses traits. En effet, sa veste possédait une capuche assez profonde pour dissimuler quasiment entièrement ses traits, ne laissant voir que l'ombre d'une bouche, étirée en ce qui ressemblait à un sourire.

Baissant les yeux, tu vis que reposais à ses pieds un violon et un archet qu'il avait du laisser tomber en venant à ton secours.

Suivant ton regard, il baissa les yeux il pointa son violon, puis mima l'action de jouer.

Il te proposait de jouer pour toi?

L'inconnu se penchant, ramassant d'un geste leste son instrument qu'il calla contre son coup avant de poser son archet sur les corde. Puis il se mit à jouer.

Quand la première note retentit, elle sembla s'étirer dans l'air, comme un chat qui vient de se réveiller et qui tend ses muscles au maximum. Elle sembla dissiper la froideur de la nuit, formant comme une bulle vous englobant toi et le joueur de violon.

Alors que la première note s'éteignait, une deuxième vient prendre le relai, plus lourde, plus lancinante. Au fil des mouvements de l'archet, le joueur composa une mélodie lourde, lancinante, où les sons semblaient se succéder sans se toucher, formant un ensemble étrange.

Tu mis de longues minutes à comprendre que cette mélodie était plus que ça. c'était la solitude mise en musique.

A peine  cette idée te fus t-elle venue à  l'esprit que la musique changea, se faisant plus pressente, plus insistante, plus froide. Aussi. c'était le désespoir, la froideur de ces pixels dont tu étais fait.

Alors que cela semblait impossible, il accéléra encore. cette musique elle devint combative, vivante illustration de l'ardeur du combat.

Tu sentis ton cœur accélérer alors que la musique faisait remonter à la surface de plus en plus de souvenir. Ton esprit ballottait au gré des réminiscences, te appelant tes combats, tes victoires, tes défaites... Tout allait trop vites. Tu avais l'impression que ta tête allait exploser.

Au moment ou ta bouche s'ouvrait pour hurler, la musique changea.

Elle se fit joyeuse, caressante, tournoyant autour de toi comme un enfant qui joue. D'agressivité plus de trace. c'était la musique de l'après combat, des soirées au coin du feu, de la camaraderie...

Tu te permis de souffler un peu.

Tu te tendis compte que tu t'étais à moitié affalé par terre sous la puissance des émotions dégagées par cette musique. Quand tu voulus te relever, la musique changea de nouveau. Elle se fit douce, t'incitant à t'allonger et à te laisser porter.

Tu ne cherchas pas à résister, alors que ton esprit ralentissait, cherchant à mettre le doigt sur ce que représentait cette dernière mélodie.

Tu le trouvas au moment où ton esprit cessait de lutter.

Ce joueur jouait la musique de la paix, tout simplement.

C'est à ce moment là que tu t'endormis.




Tu te réveillas allongé sur le lit d'une auberge de la ville. Te frottant les yeux, tu te demandas comment tu étais arrivé là. Tu te hâtas de te lever et de quitter la chambre. Das la salle principale, tu interpelas le PnJ aubergiste en lui demandant comment tu t'étais retrouvé dans cette chambre. Il te répondit qu'une personne t'avais amené ici et avait payé le prix de la chambre. En le questionnant, tu appris juste que cette personne avait un étuis dans le dos.

Tu sortis de l'auberge avec d'autant plus de questions, l'esprit encore remplis de cette sensation de paix qui t'avais étreinte la nuit dernière. Le peu que tu avais réussi à ararcher à l'aubergiste montrait que tu n'avais pas rêvé.

Mais pourquoi?

Pourquoi est ce que ce joueur inconnu avait joué pour toi? Pourquoi avait-il pris soin de toi?

Pourquoi?

C'est quand tu tombas sur une devanture de magasin ornée d'une clef de sol que ton esprit te fournis un début de réponse, sous la forme d'un souvenir d'une lecture, d'une phrase que tu avais lu plusieurs fois sans la comprendre à l'époque.

Aujourd'hui je vous aide et demain vous relèverez quelqu'un tombé à terre. La roue de la générosité continuera à tourner.

Tu compris que tu cherchais une réponse à une question qui n'en avait pas. Mais tu pouvais rendre hommage à cet homme dont tu ne connaissais pas le visage, qui ne te devait rien et pourtant qui, alors que tu était en train de tomber t'avais rattrapé, cela dans tous les sens du terme et à plusieurs reprises.

Tu hésitas quelques secondes et tu finis par rentrer dans le magasin d'instruments interpellant le vendeur.

- Bonjour. Est ce que vous vendez des violons?

Un homme d'un certain âge, les cheveux grisonnants, est en train de tailler une flûte dans un morceau de bois avec une certaine dextérité. A votre appel, il souffle sur son œuvre inachevée pour en chasser la poussière, et se lève lentement avant de vous parler d'une voix étonnamment claire.

"Bonjour, aventurier. Je vends divers instruments ici, et certainement plusieurs qui répondrait à ta demande. Un instant."

Il se retourna et prit une boite en bois tout à fait banale, flambant neuve, et l'ouvrit sur le comptoir devant vous. Une vièle à cinq cordes en bois d'orme et en forme de poire, aussi neuve que son étui, trône fièrement à l'intérieur, accompagnée de son archet composé du même bois et dont les crins sont d'une jolie couleur noisette.

"J'ai celui-ci pour débutant, neuf et très abordable." commenta le vieil homme. Il se pencha ensuite pour tirer une autre boîte, en métal cette fois et plus abîmée que la précédente. Il ouvrit le loquet et souleva le couvercle, révélant un violon à quatre cordes en bois d'érable peint en blanc et un archet au crin assorti.

"Celui-ci m'a été vendu pour une coquette somme, il appartenait à un barde assez célèbre connu pour ses histoires de dragons. Malheureusement, sa fille a voulu s'en débarrasser quand le dernier personnage principal de sa chanson l'a carbonisé..." marmonna-t-il d'un ton attristé.

Il se gratta la tête, et partit derrière le rideau qui séparait la réserve du magasin. Il en revint quelques secondes plus tard, avec un coffret en bois sculpté et usé par les années. Il ouvrit la dernière boîte, vous montrant avec une certaine fierté un autre violon en ébène, presque aussi noir que votre manteau. L'archet posé à côté est également sombre, avec de très fines lignes dorées stylisées le parcourant dans toute la longueur.

"Ce petit était mon violon, autrefois. Mais l'âge m'a privé de ma dextérité, et je serai ravi que quelqu'un d'autre lui redonne une seconde jeunesse." dit-il avec un petit sourire nostalgique.

Vous pouvez faire votre choix parmi ces trois instruments proposés, ou bien tenter votre chance dans une autre boutique si aucun d'entre eux ne vous convient.

Vièle à cinq cordes: 200 cols
Violon en érable: 500 cols
Violon en ébène: 1 000 cols

Le pnj avait l'apparence d'un homme marqué par l'âge. Tu reste un instant saisi par la dextérité avec laquelle il taillait une flute à partir d'un bout de bois. Celui qui qualifiait leur travail d'artisanat ne les avait jamais regardé travailler. Il y avait de l'or dans ces mains. Ce n'était pas de la fabrication, mais de l'art.

L'homme ne sembla pas lui en vouloir de l'avoir déranger dans son travail. Au contraire, il avait l'air content de voir un client. Il était vrai que peu de gens devaient se découvrir des vocations dans ce monde...

Il te montra d'abord un instrument flambant neuf trônant fièrement dans un étui. Tu passas ta main sur le bois, cherchant à ressentir une certaine attirance pour cette pièce. Rien ne te vins. Le violon était pareil à une page blanche, vide, morne.

Tu secouas la tête. Il ne te conviendra pas.

Tu passas au second qui était blanc comme la première neige, encore plus beau que le premier. tu répétas ton manège en écoutant son histoire. Il aurait pu te convenir. pourtant, tu retiras ta main. Malgré sa beauté, ce violon était trop imprégnée de tragédie, pour pouvoir t'aller.

Le troisième se révéla être le bon.

Lorsqu'il posa devant toi une troisième boite, tu sentis ton cœur se pincer. Lorsqu'il l'ouvrit, révélant un instrument d'ébène et un archet aux lignes d'or. l'espace d'un instant, ton esprit cessa de grouiller de pensées parasites, ne laissant qu'une seule réflexion.

Tu le voulais.

Et son histoire ne fit que renforcer ton sentiment. Tu sentais tout l'amour que ce commerçant, que cet ancien joueur éprouvait pour son instrument et à quel point le laisser partir était un déchirement pour lui.

Je vais prendre celui là.

En disant cela, tu posas ta main sur le troisième photo. Tu pouvais presque sentir tous les sentiments qui avaient traversé l'homme lorsqu'il jouait.

-Je vous jure que j'en prendrais soin.

Tu ne cherchas pas à négocier. certains choses méritent qu'on les paye à leur véritable valeur. Ouvrant ton interface, tu payas rapidement le prix demandé.

Marquant un temps d'arrêt le temps d'enregistrer votre commande, le marchand finit par vous sourire et repose le violon dans son étui. Il vous tend le tout avec des mains presque tremblantes, acceptant par la même occasion votre argent. Il s'incline en vous remerciant pour votre patronage, vous laissant face à ce popup luminescent:



"Puisse-t-il vous tenir compagnie comme il l'a fait pour moi, voyageur."

Sur ces derniers mots, le vieil homme repasse en attente, attendant probablement votre départ avant de reprendre son travail sur la flûte qu'il a laissé de côté.

Tu as a peine conscience que ta main se dresse et s'approche de la fenêtre apparue devant toi pour conclure l'échange en te demandant si tu voulais renommer l'instrument dont tu venais de faire l'acquisition.

Tu appuya la pulpe de ton doigt sur l'écran, juste au niveau du bouton rouge. Une histoire comme celle là se respectait. Elle se ne s'effaçait pas avec désinvolture. Tu te refusais à faire partie de ce genre de joueurs qui s'emparaient d'un objet sans aucune considération pour ce que celui-ci avait traversé.

Doucement, tes mains saisirent le coffret en bois et tu le ramenas vers toi jusqu'à l'appuyer contre ton cœur. Puis tu t'inclinas profondément devant le marchand.

J'en prendrai soin. Merci. Pour tout.

Puis tu sortis, le laissant retourner à ses activités. Quand à toi, il te restait beaucoup à faire avant de quitter la ville.

Le soir venu, alors que la nuit était tombée depuis bien longtemps et que les habitants avaient rejoins leur lit, une douce musique résonna à travers les rues. Une mélodie grave, sombre. Elle n'était pas parfaite. On sentait que le musicien débutait.

Mais cette musique elle avait quelque chose qui prenait à la gorge. Elle était belle dans son imperfection. Ces notes elles évoquaient les épreuves passées mais également les joies à venir. Elles étaient le prélude de quelque chose de grand, le premier pas d'un long voyage, la première respiration d'un nouveau né.

La mélodie raisonna pendant de longues heures, jusqu'à ce que le soleil en se levant ne la chasse. Personne ne sut jamais qui était le musicien. Nul ne fit le lien avec la petite silhouette qui quitta la ville avec les dernières ombres de la nuit, un étui à violon sur le dos.

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Pseudo : Rienthal
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Objets utilisés : /
Objets obtenus :
Violon en ébène x1
Compétences gagnant des points :
Ecoute +1
Acrobatie +1
Vision Nocturne +1
Instr. musique +1
Niveau début du rp : 29
Niveau(x) gagné(s) : 1
Réputation : 2¤
Remarques : Un RP poignant, que ce soit dans le désespoir du début ou l'espoir de la fin. Hâte de lire tes futurs morceaux, vu comment tu as bien décris le premier ici~ Quelques rares coquilles disséminées dans tes posts, mais rien de grave. Courage, petit bout!